Les orgues de Paris
ORGUES DE PARIS © 2024 Vincent Hildebrandt ACCUEIL LES ORGUES

Gutschenritter - Masset

Église Saint Dominique (1905)

Les orgues parisiennes du facteur

Gutschenritter/Masset

Saint-Dominique (1905) Saint-Antoine des Quinze-vingts Choir organ (1909) Eglise luthérienne de la Villette (1930) Saint-Louis-en-l'Ile Orgue de chœur (1965)
D’origine alsacienne, Joseph Gutschenritter (1854-1913), s’est formé chez Cavaillé-Coll. En effet sa mère, née en 1829 était la sœur ainée de Thiebault Moncourt. Trois générations de Montcourt ont travaillé chez Cavaillé-Coll et c’est donc tout naturellement que le jeune Joseph entra dans cette Maison pour effectuer son apprentissage. En 1878, il rentra dans l’entreprise Merklin & Cie dont il devint contremaitre. En 1898, lorsque Joseph Merklin se retire définitivement de son activité pour prendre sa retraite, il cède ses parts aux deux associés qui l’avaient accompagné dans la création de sa dernière société à Paris, Joseph Gutschenritter et Philippe Decock, et il leur accorde l’utilisation commerciale de son nom "Merklin". La dénomination "J. Merklin & Cie" de la société parisienne est donc maintenue après le départ de son illustre fondateur. Après la mort de Joseph Merklin en 1905, la société resta sous la direction de Joseph Gutschenritter et changea le nom pour inclure le sien. Plus tard, il s'associe à Robert Masset pour créer la Maison Gutschenritter-Masset. Joseph, son fils Gaston (1884-1949) et Robert Masset (* 1910) sont actifs dans la région parisienne depuis près d'un siècle, tant dans la construction que dans la restauration, jusqu'en 1986. Parmi les compagnons les plus connus de Joseph Gutschenritter on peut citer Victor Gonzalez (de 1899 à 1905), l’harmoniste Henri Yersin. De plus un certain nombres de facteurs (Philippe Hartmann, Edmond-Alexandre Roethinger) y ont été formés et ont fait leur apprentissage.
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Gutschenritter -

Masset

ORGUES DE PARIS © 2024 Vincent Hildebrandt LES ORGUES
D’origine alsacienne, Joseph Gutschenritter (1854-1913), s’est formé chez Cavaillé-Coll. En effet sa mère, née en 1829 était la sœur ainée de Thiebault Moncourt. Trois générations de Montcourt ont travaillé chez Cavaillé-Coll et c’est donc tout naturellement que le jeune Joseph entra dans cette Maison pour effectuer son apprentissage. En 1878, il rentra dans l’entreprise Merklin & Cie dont il devint contremaitre. En 1898, lorsque Joseph Merklin se retire définitivement de son activité pour prendre sa retraite, il cède ses parts aux deux associés qui l’avaient accompagné dans la création de sa dernière société à Paris, Joseph Gutschenritter et Philippe Decock, et il leur accorde l’utilisation commerciale de son nom "Merklin". La dénomination "J. Merklin & Cie" de la société parisienne est donc maintenue après le départ de son illustre fondateur. Après la mort de Joseph Merklin en 1905, la société resta sous la direction de Joseph Gutschenritter et changea le nom pour inclure le sien. Plus tard, il s'associe à Robert Masset pour créer la Maison Gutschenritter-Masset. Joseph, son fils Gaston (1884-1949) et Robert Masset (* 1910) sont actifs dans la région parisienne depuis près d'un siècle, tant dans la construction que dans la restauration, jusqu'en 1986. Parmi les compagnons les plus connus de Joseph Gutschenritter on peut citer Victor Gonzalez (de 1899 à 1905), l’harmoniste Henri Yersin. De plus un certain nombres de facteurs (Philippe Hartmann, Edmond-Alexandre Roethinger) y ont été formés et ont fait leur apprentissage.
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Saint-Dominique (1905) Saint-Antoine des Quinze-vingts Choir organ (1909) Eglise luthérienne de la Villette (1930) Saint-Louis-en-l'Ile Orgue de chœur (1965)