L’organiste canadien Philip Crozier a eu le privilège d’étudier en privé avec le légendaire André Marchal entre 1978 et 1980 — une expérience profondément formatrice. Ces séances ont offert des perspectives riches sur le répertoire et l’interprétation, capturant l’art et la sagesse de Marchal dans sa propre voix.Tenues au domicile de Marchal à Paris, les leçons ont été enregistrées sur cassette par Crozier, en présence de la fille de Marchal, Jacqueline, qui assurait une traduction instantanée du français vers l’anglais.Aujourd’hui, 45 ans après la disparition de Marchal, ces enregistrements historiques sont publiés afin d’honorer et de préserver l’héritage de son enseignement.Lisez l’introduction à ces leçons enregistrées avec André Marchal, rédigée par Philip Crozier.
L’orgue de salon d’André Marchal
L’orguesituérueDurocàParisavaitétéconçuàl’originecomme instrumentdetravailquotidien:deuxclaviersetunpédalier, construitparGütschenritter.Aufildesannées,lerépertoiredemon pères’estenrichi,toutcommesesambitionsetlenombred’amis venusl’écouter.Ainsi,Marchalfitinstallerdanssonstudiounorgue deconcertàtroisclaviers.Cettetransformations’estfaite progressivement,chaqueétapecoïncidantavecsonretourde tournées internationales.En1934,latractiondupédalierfutremplacéeparunetraction électrique,permettant,grâceàl’ajoutde24tuyaux,l’extensiondela soubasseen32′acoustique,16′,8′,4′et2′.AprèslaSecondeGuerre mondiale,VictorGonzalezpritlerelaisetapportacertaines modifications reflétant les esthétiques de Marchal et de Gonzalez.En1954,lesMarchalagrandirentlestudioainsiquel’orgue.Les sommiersd’origineetlatractionmécaniquefurentconservés,etun troisièmeclavier,unPositifnonexpressif,futajouté.Ceclavierfut placésousleGrandOrgueetreliéàsonsommierparunetraction électrique.Àcetteoccasion,l’instrumentfutbaptisé«Philippe-Emmanuel ».SourceLesphotosmontrentMarchalàsonorguedemaison,avantetaprès l’agrandissement des années 1950.
L’organiste canadien Philip Crozier a eu le privilège d’étudier en privé avec le légendaire André Marchal entre 1978 et 1980 — une expérience profondément formatrice. Ces séances ont offert des perspectives riches sur le répertoire et l’interprétation, capturant l’art et la sagesse de Marchal dans sa propre voix.Tenues au domicile de Marchal à Paris, les leçons ont été enregistrées sur cassette par Crozier, en présence de la fille de Marchal, Jacqueline, qui assurait une traduction instantanée du français vers l’anglais.Aujourd’hui, 45 ans après la disparition de Marchal, ces enregistrements historiques sont publiés afin d’honorer et de préserver l’héritage de son enseignement.Lisez l’introduction à ces leçons enregistrées avec André Marchal, rédigée par Philip Crozier.
L’orgue de salon d’André Marchal
L’orguesituérueDurocàParisavaitétéconçuà l’originecommeinstrumentdetravailquotidien: deuxclaviersetunpédalier,construitpar Gütschenritter.Aufildesannées,lerépertoirede monpères’estenrichi,toutcommesesambitionset lenombred’amisvenusl’écouter.Ainsi,Marchalfit installerdanssonstudiounorguedeconcertàtrois claviers.Cettetransformations’estfaite progressivement,chaqueétapecoïncidantavecson retour de tournées internationales.En1934,latractiondupédalierfutremplacéepar unetractionélectrique,permettant,grâceàl’ajout de24tuyaux,l’extensiondelasoubasseen32′ acoustique,16′,8′,4′et2′.AprèslaSecondeGuerre mondiale,VictorGonzalezpritlerelaisetapporta certainesmodificationsreflétantlesesthétiquesde Marchal et de Gonzalez.En1954,lesMarchalagrandirentlestudioainsique l’orgue.Lessommiersd’origineetlatraction mécaniquefurentconservés,etuntroisièmeclavier, unPositifnonexpressif,futajouté.Ceclavierfut placésousleGrandOrgueetreliéàsonsommier parunetractionélectrique.Àcetteoccasion, l’instrument fut baptisé « Philippe-Emmanuel ».SourceLesphotosmontrentMarchalàsonorguedemaison, avant et après l’agrandissement des années 1950.